Von der Schwierigkeit die richtigen Worte zu finden –
übersetzen geht weit über das Wort-zu-Wort-Aneinanderreihen hinaus :
Wortspiele, Humor, geschichtliche Bezüge und Referenzen müssen miteinfließen,
um zu einem vollständigen Textverständnis zu führen :
« Klaus Jöken, traducteur officiel d’Asterix, le confie volontiers dans la presse : traduire Astérix est un travail harassant : des semaines de labeur sans répit et dans le plus grand secret, des réveils nocturnes pour noter une idée de traduction, des jeux de mots ou des références culturelles qu’il faut jusqu’à deux jours pour transposer dans l’univers culturel germanique.
Sans compter l’éditeur, qui veille au grain… Chaque album d’Astérix, une fois traduit, est retraduit dans l’autre sens (vers le français) pour vérifier que tout colle, l’humour comme le style. »
Lire plus, Cidal, Nouvelles d’Allemagne du 7 novembre 2017